Désormais en sécurité à La Mecque, environ 15 km plus léger que lorsqu’il a commencé, Adam n’a aucun regret.
“J’ai pleuré quand je suis arrivé. C’est une sensation incroyable”, raconte-t-il à l’AFP.
“Mon voyage a été épuisant. Je me suis arrêté à de nombreux endroits pour me reposer. Mais j’étais concentré sur une chose : j’ai 53 ans, et si je gagnais 11 mois sur le chemin de la maison de Dieu ? C’est faisable.”
Adam a déclaré que les autorités saoudiennes lui avaient accordé, ainsi qu’à sa femme et à ses deux filles, qui ont pris l’avion du Royaume-Uni pour le royaume du Golfe, un permis pour participer au Haj, qui consiste en une série de rites religieux accomplis à La Mecque et dans les régions environnantes de l’ouest. Arabie Saoudite.
La plupart des autres étrangers qui exécutent le rituel ont été sélectionnés par un système de loterie.
“EST MON RÊVE”
L’un des cinq piliers de l’Islam, le Haj doit être entrepris par tous les musulmans valides qui en ont les moyens au moins une fois dans leur vie.
Mais les restrictions liées à la pandémie ont contraint d’innombrables pèlerins potentiels basés en dehors de l’Arabie saoudite à suspendre leurs projets.
Habituellement l’un des plus grands rassemblements religieux au monde, environ 2,5 millions de personnes y ont assisté en 2019, avant le début de la pandémie.